Les Ones-Shots de William

Bonjour ou bonsoir les ghoules et les guys ! Voilà, comme le titre indique, je vais mettre ici mes One-Shots !
Qu'est-ce qu'une One-Shot ?
C'est une sorte de très très courte fanfiction. Elle n'aura ni vraiment début ni de fin, mais un sens. Par exemple, pour une fin de OS fin ça sera "Et William se tourna, les yeux restés clos, il murmura "Tu le saura"" donc, on sait pas forcément ce que va répondre son interlocuteur. (c'est qu'un exemple XD). Suspence du One-Shot, ça n'as pas vraiment de fin !

Ces One-Shots seront sur l'amitiée, la tristesse, l'amour, l'espoir qu'il ne faut pas perdre.

Voilà, je crois avoir fait le tour !

Ouai cool j'ai hâte !

Trop cool j'ai hâte aussi ^^

Merci i-amKiko et Skelita Sparkle ! On commence avec la 1ère OS, l'histoire d'une fille qui ne comprends pas la cruelle chose qui lui arrive

Spoiler:

Sophia est une collégienne qui est en 3ème, elle discute avec beaucoup de monde et est contente d'être dans la même classe que son meilleur ami : Guillaume.
Mardi 10 septembre, Point de vue Sophia :
C'est la récrée après deux ennuyantes heures d'histoire ! Je marchais tranquillement dans la cour de récrée, le ciel est tout gris mais cela ne me gène pas car pour moi chaque temps a ses hauts et ses bats. Je passa devant unedeux mecs qui se mirent à crier mon prénom, l'un d'entre eux me dit "Sophia, il t'aime" en montrant son copain. Je les ignora, comme ils sont gamins ceux-là ! Je marchait maintenant près des arbres, j'allais dire "salut !" à Guillaume quand je me pris un énorme caillou dans la tête.
Moi : Aille ! Mais qui a fait ça ?
Ninon : *rit* Oh ! mais qui a fait ça *rit* !
Moi : Et, pourquoi tu m'a lancé ce caillou ? Sa fait très mal !
Et elle m'en lança un autre plus petit, mais qui fut assez tranchant pour faire saigné ma peau, juste en dessous de mon oeil droit. Sa copine se mit à me lancer d'autre petits cailloux, je leur criait d'arrêter en me cachant le visage.
Guillaume : Arrêter, laissez-la tranquille !
Le petit copain de Nino, plus grand que Guillaume, donna un grand coup de poing dans le nez de Guillaume et le poussa. Mon ami tomba sur les fesses et se mi à saigner du nez. Les pestes et le grand nul partirent en riant sans demandé leur reste.
Guillaume : Quelle brute ce gars ! Sa va Sophia ?
Moi : Non... Guillaume... elles m'ont jeté des cailloux... le grand nul t'as fait saigner du nez... mais qu'allons-nous faire ?
Guillaume : Il faut prévenir la directrice Sophia, ce qu'il nous font est interdit dans le règlement du collège !
On se releva péniblement, Guillaume sortit un mouchoir de sa poche et le mit devant sa narine qui saignait. On alla en parler à la directrice, qui nous dit qu'elle allait s'en charger et m'ordonna d'emener Guillaume à l'infirmerie.
A l'infirmerie :
Moi : Guillaume...
Guillaume : Qu'il y'a t-il ?
Moi : Ces gens... nous ne les conaissons pas... ils ne savent pas nos prénoms... nous sommes des gens sans embrouilles...
Guillaume : Oui...
Moi : Alors, pourquoi nous blessen-ils autant alors quue nous ne connaissons pas mutuellement ?

Voilà ma première OS ! Oui, je sais c'est triste et injuste, mais je voulais montrer ce que je ressent au collège quand des inconus me font des méchancetées, montrer à quel point ça peu bleser.

A vos avis !

Wow j'adore j'ai hâte que t'en fasse d'autre !

C'est touchant, très bien écrit, continue bravo! J'aime !

Bonsoir et un grand Merci à vous deux !
Voilà le second One-Shot avec les personnages !

Spoiler:

La fillette seule dans la cours
Immortal est une fillette agée de 9 ans, qui comme tout les enfants va à l'école. Mais en récrée, elle ne joue jamais avec les autres.
Un mardi matin, durant la récrée du matin, les garçons jouaient au football et les filles jouaient à l'élastique ou à la marelle. Ils rigolaient, criait et passaient un bon momment. Mais sur un petit murret, là où il y'a le portail, se tient Immortal. Seule, elle ne va pas jouer avec les autres et regarde le ciel. Sa maîtraisse était déjà aller la voir lui demander si elle allait bien et l'avait encorager à aller jouer. Mais à chaque fois la fillette refusais disant "Je n'aime pas ces jeux, je préfère regarder la beautée de la cour et à inventer". L'institutrice ne comprenais pas, mais elle détestait par dessus tout forcer les enfant, alors elle avait laisser tomber.
Caroline, une camarade d'Immortal et qui adore jouer à la marelle, est pourtant ce matin venue s'assoir à côté d'elle.

Caroline : Est-ce que tu va bien ?
Immortal : Oui, je te remercie. Tu ne joue pas avec Gwendeed et Amélie ?
Caroline : Ben... tu sais j'allais y aller... Mais je voulais d'abbord te poser une question : pourquoi tu ne va pas jouer ? Tu es bonne en sport, tu épaterais les gars si tu jouais avec eux au foot ! Et l'élastique ? C'est très amusant, comme la marelle ou le chat et la souris !
Immortal : Ils se sont... la plupart moquer de mon prénom, mis à part, pas voulu faire la maquette avec moi, du coup j'ai pas voulu jouer avec eux. Un jour alors que je voulais sympatiser sans succès, je me suis assise là et j'ai apris à quel point j'aimais regarder le paysage, avec cela je peux m'envoler dans un monde magique. Les humains sont parfois méchant et dans ce monde, il n'y a que des annimaux, car ils sont gentils. Je suis mieux ici.
Caroline : Ton monde dois être sublime ! Mais il ne faut pas que tu parte dans un immaginaire et que tu te fasse des amis. Ils ne sont sans doute pas exprès de te rejeter, les mecs aussi se moquent de mes copines.
Immortal : Moi, je trouve ça méchant, il ne faut pas se moquer. Je suis solitaire de nature et mes parents me l'ont toujours dit, je garde toujours les pieds sur terre. Je te remercie Caroline pour ce petit échange et j'en suis reconaissante, mais je préfère admirer la beautée de la nature et m'envoler, certains préfèrent jouer, moi c'est le calme que j'adore.
Caroline (soupir) : comme tu veux, si tu change d'avis tu peux revenir me voir !

Caroline un peu déçue, alla rejoindre ses deux copines pour jouer à la marelle. Immortal resta ainsi seule, éloignée des autres dans son petit monde magique avec ses amis les annimaux.

Immortal (pense) : ce fut la première fois qu'on est venu me parler aussi doucement...